High Energy : Le disco survolté des années 80
High Energy : Le disco survolté des années 80
Réalisateur :
Olivier Monssens
Synopsis
"Relax, don’t do it!", "This Time I Know It’s Real", "Oh, High energy!" : ces tubes ont enflammé les années 80 ! De San Francisco à Londres et New York, découvrez l'histoire d'une nouvelle forme de disco : la "Hi-NRJ", connue pour ses beats électro, ses voix étranges et ses vibrations frénétiques. Plus qu'une tendance musicale, c'est toute une vie nocturne underground qui s'est développée dans ces années-là. Ce nouveau style musical entrainant est rapidement devenu la culture de toute une décennie, placée sous le signe de la fête et de l'extravagance. Mais cette atmosphère insouciante a fini par s'estomper, frappée par une épidémie qui sèmera la panique : le sida. Entrez dans les coulisses de cette période exceptionnelle, grâce à des clips flamboyants et à de rares interviews d'artistes, qui se souviennent avec émotion de ces années uniques et pleines d’énergie.
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« L’artiste doit être un activiste ». Telle est la devise d’Ai Weiwei, artiste contemporain de renommée internationale qui, par son œuvre provocatrice, dénonce les injustices. Découvrons le surprenant parcours de ce célèbre agitateur. Contestataire, iconoclaste, farceur, rêveur. Quantité d’adjectifs pour qualifier cet artiste indomptable, dont la vie est digne d’un roman d’aventure. Après un exil forcé de Pékin, Ai Weiwei est envoyé dans des camps de travail chinois, où il passe toute son enfance. Dans les années 1980, il part s’installer à New York et y entame sa double carrière d’artiste et d’activiste. Mêlant les médiums, Ai Weiwei donne le jour à un art protéiforme où se côtoient sculpture, performance, documentaire, photographie et architecture. Faire un doigt d’honneur aux institutions et aux valeurs établies, porter la voix des réfugiés, alerter sur l’urgence climatique… Désireux de déranger et de dessiller les regards, il s’engage dans les plus grandes crises humanitaires.
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Peintre de la chapelle Sixtine, sculpteur du David et de la Pietà et architecte du dôme de la basilique Saint-Pierre, Michel-Ange incarne par son œuvre l’image d’une Église catholique romaine glorieuse. Pourtant, une sculpture sème le doute sur les convictions religieuses de celui qu’on surnomme le « divin artiste ».
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